n ce 1er avril, Jean-Michel Aulas se serait
bien passé de cette mauvaise blague. Dimanche soir, en clôture de la 30e
journée de Ligue 1, Lyon s'est incliné (1-2) face à une vaillante
équipe de Sochaux qui sort de la zone rouge. Si cette défaite condamne
les derniers espoirs de titre des hommes de Rémi Garde, qui se
retrouvent à 8 longueurs du PSG, elle pourrait être bien plus grave que
prévue. En effet, c'est le 4e match sans victoire de l'OL et surtout le
deuxième revers consécutif après la claque reçue par Bastia (4-1) il y a
15 jours.
Si l'on pouvait croire que la trêve allait permettre aux Lyonnais de se ressaisir, il n'en fut rien. A l'image d'une défense centrale catastrophique, l'OL n'y arrive plus et cède sa place de dauphin à l'OM, qui a réussi à s'imposer face à un concurrent direct, à savoir l'OGC Nice. Alors que la première partie de saison de Lyon laissait entrevoir de belles perspectives, nul doute que quelque chose s'est cassé dans la mécanique du club. L'élimination contre Tottenham en Ligue Europa pourrait être l'un des facteurs de cette chute vertigineuse. Mais il semble que le mercato d'hiver ait laissé bien plus de traces que prévu. Le président Aulas, qui voulait vendre pour renflouer ses caisses, a lâché des déclarations fracassantes en s'en prenant publiquement à certains joueurs (Gomis, Briand, Gourcuff) et a sans doute déstabilisé ses troupes. La vente de Bastos a sans doute aussi été un facteur important, puisque l'OL est aujourd'hui orphelin d'un côté gauche où le jeune Ghezzal ne trouve pas sa place et où Lisandro ne se plaît pas.
Pire, la motivation de l'équipe n'est plus la même, à l'image d'un Malbranque transparent depuis 2013 alors qu'il était à la porte des Bleus il y a tout juste quelques mois, ou d'un Gomis qui enchaînait les buts en première partie de saison mais qui traverse les matchs comme un fantôme. Alors que le calendrier de l'OL est plutôt compliqué jusqu'à la fin de saison (Montpellier, St-Etienne, Rennes, Nice, PSG entre autres), les Rhodaniens doivent maintenant surveiller leurs arrières puisque leur place en Ligue des Champions est menacée par les Verts et les Dogues, respectivement à 3 et 4 points. Qu'on se le dise, l'OL est aujourd'hui en perdition et rien ne semble pouvoir freiner sa chute. Qui pourrait bien être fatale.
Si l'on pouvait croire que la trêve allait permettre aux Lyonnais de se ressaisir, il n'en fut rien. A l'image d'une défense centrale catastrophique, l'OL n'y arrive plus et cède sa place de dauphin à l'OM, qui a réussi à s'imposer face à un concurrent direct, à savoir l'OGC Nice. Alors que la première partie de saison de Lyon laissait entrevoir de belles perspectives, nul doute que quelque chose s'est cassé dans la mécanique du club. L'élimination contre Tottenham en Ligue Europa pourrait être l'un des facteurs de cette chute vertigineuse. Mais il semble que le mercato d'hiver ait laissé bien plus de traces que prévu. Le président Aulas, qui voulait vendre pour renflouer ses caisses, a lâché des déclarations fracassantes en s'en prenant publiquement à certains joueurs (Gomis, Briand, Gourcuff) et a sans doute déstabilisé ses troupes. La vente de Bastos a sans doute aussi été un facteur important, puisque l'OL est aujourd'hui orphelin d'un côté gauche où le jeune Ghezzal ne trouve pas sa place et où Lisandro ne se plaît pas.
Pire, la motivation de l'équipe n'est plus la même, à l'image d'un Malbranque transparent depuis 2013 alors qu'il était à la porte des Bleus il y a tout juste quelques mois, ou d'un Gomis qui enchaînait les buts en première partie de saison mais qui traverse les matchs comme un fantôme. Alors que le calendrier de l'OL est plutôt compliqué jusqu'à la fin de saison (Montpellier, St-Etienne, Rennes, Nice, PSG entre autres), les Rhodaniens doivent maintenant surveiller leurs arrières puisque leur place en Ligue des Champions est menacée par les Verts et les Dogues, respectivement à 3 et 4 points. Qu'on se le dise, l'OL est aujourd'hui en perdition et rien ne semble pouvoir freiner sa chute. Qui pourrait bien être fatale.
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